«...je demande aux cavaliers qui me lisent et qui
dressent leurs chevaux de regarder leur monture lorsqu’ils mettent
pied-à-terre après une séance de travail, de contempler son oeil et de
faire un examen de conscience pour se demander s’ils ont bien agi
envers cet extraordinaire être vivant, ce compagnon adorable : le
cheval».
Nuno Oliveira
Tu parles d'un regard ! expressif en même temps tout doux.Comment ne pas les regarder dans les yeux ces bêtes magnifiques.Camille
RépondreSupprimerIl m'émeut le grand ténébreux.
RépondreSupprimerAndré